Barcelona 12
Au grand drame de ma mère, ma vie se résume à boire et à être ivre mort !!!
Vendredi soir sonne et nous sortons de nos bureaux, tel un troupeau de vache enragée afin de se détendre dans un coin terrasse avec une bonne bière fraîche qui nous fait dérider les fronts pensifs.
Le soir à l'escalade quand mes bras me font mal parce que mes 86 kilos me pèsent je prends la bonne résolution de dire au revoir à mon breuvage doré... et ceci jusqu'à passer une bonne soirée entre amis. Ce qui arrive tous les soirs. Je disais à mon compagnon de grimpe... "Mais quand même ce n'est tout de même pas impossible d'arrêter", il m'a répondu "en hiver c'est dur ! En été... ah ah ah..." Alors je me fais une raison et je me dis que le Japon aura tôt fait d'arriver et d'imposer de lui-même ses restrictions (encore que l'asahi est bonne) en attendant vivons l'Espagne "caramba".
Vendredi soir sonnait donc de ses mille clochettes d'adieu à mon bureau et je me rendais chez mon collègue de travail, Sergeï Dimitrov Petrovski, ou nous patientons, un verre à la main. Le bus est prévu pour 20h30. Nous fêtons ce soir notre deuxième SELLBYTEL (ma boite) Summer Party. Le match de foot et la piscine sont les deux points d'orgue de la soirée entre deux concerts et de la musique. Une soirée dont vous pouvez apprécier ici la débauche antiprofessionnelle. Le retour à 4h du matin se fait dans des effluves argentés et dans un bus qui tourne beaucoup trop pour rentrer à Barcelone. J'arrive sain et sauf à mon lit.
Samedi sonne et je me réveille vers 18h. Parfait. Le temps de s'habiller et de se retrouver chez Sam ou Juju, Johanna, Seb, Aude, Marion et Pierre nous retrouve pour taper quelques chipolatas fortes bien venues agrémenter les discours. Nous prévoyons doucement la suite des événements (sortie dans le quartier de Gracia ) alors que Julien file s'endormir paisiblement dans le canapé. En même temps 9/10 de vodka pour 1/10 d'orange fallait s'y attendre... Le temps de relancer le garçon et nous voilà en voiture (je vous laisse refaire le compte des personnes) direction le Juali vivre l'expérience tremendaaaa de quelques chupitos bien tassé. Le bar se ferme tout doucement avec nous dedans et Gaël fait son show au bar. Nous finissons dans la rue en train de dealer 4 packs de 6 au Pakis et de prendre la route de chez moi afin de finir la soirée (4h). Gaël et Juju se perdent en voulant y aller à pied (sans mon adresse) et nous filons à 5 retrouver la moitié de mes collocs (9) réveillés à cette heure là. L'ambiance remonte, la musique effraie les voisins et nous baissons le son vers 9h afin de laisser place aux chants des oiseaux. Lorsque tout le monde se rentre dans ses quartiers. Olympe, Oliver et moi-même décidons d'empêcher Adam et Nathalie de dormir (chose qu'on fait très bien… mais jamais plus loin que les larmes).
Le temps de dormir une petite heure et on repart pour la plage ou l'orage nous rattrape et ou nous finissons à 4 uniquement à trinquer sous la pluie (terrible, mais ça dilue l'alcool des verres). Nous rentrons vers 20h afin de se prendre une douche chaude et de se retrouver dans un bar Belge histoire de finir le week-end sur notre thématique chérie. Je saute l'épisode du retour en voiture qui se raconte mieux en images et vidéo qu'en flasques paroles. La Montagnarde me réchauffe de sa levure. Alors que la Chouffe joue avec mes papilles. Le Tarot se joue à quatre ou à plusieurs et c'est à la fermeture que je me vois rentrer à pied car le Bicing ferme à minuit et que forcément il est 2h.
Autant vous dire que ce lundi est passé vite et que je ne sens plus mes douleurs de dos encore anesthésié.
Une pensée à vous tous depuis une ville très espagnole.
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