Barcelona 04
¡Hola todos!
Voilà un temps certain que les doigts ne couraient plus sur le clavier. Depuis quelques temps déjà nous avons pris un certains rythme de vie Miléna et moi. Entre les courses contre l'administration (que nous n'avons toujours pas gagné) et les courses au job, les mails sont restés dans ma poche.
Voilà à présent un mois que Miléna et moi avons commencé à travailler. Pour travailler en Espagne il faut des infos qu'il y a un mois nous n'avions pas. Avoir un numéro de NIE, et un numero de sécurité social espagnol.... La sécu c'est géré pour la NIE va falloir encore attendre car il y a environ 45 jours de gestion de paperasse (allez savoir ce qu'il font avec). Sans ce numéro avant la fin du mois nous nous verrons emputé de 25 % de nos salaires au nom de la loi (charge fiscal forfaitaire). Je travaille au Camp Nou, pour certain ce nom fait sonner la cloche de dans leur tête, pour d'autre ça sonnera creux, comme pour moi la première fois (le jour de l'entretien "Le Camp Nou, OK, c'est quel adresse ?). Je travaille donc pour la Boutique officiel du Barça Nike, l'équipe de foot de Barcelone. Ambience décontracte, sportswear de rigueur (Nike obligatoire), potes à la pelle... salaire... misérable. Nike paye ses employés 560 euros net pour un 30h contractuel (35h réelle). Ça laisse pensif. Miléna, elle, travaille sur une plateforme d'appels pour une mission de ventes de produits Lamy (éditeur de textes de loi, harceleur a temps plein) pour lequel j'ai fait une période d'essai en matinée en doublon du Barça, peu
probante puisque je n'y travaille plus depuis 2 jours.
Les tapas le soirs devant une bonne bière à bas prix (on a au moins ça) sont un ravissement. Vos visites chez nous ont commencé et c'est un plaisir pour nous de vous recevoir.
Je vous souhaite à tous de très bonnes choses pour ce début de printemps.
Voilà un temps certain que les doigts ne couraient plus sur le clavier. Depuis quelques temps déjà nous avons pris un certains rythme de vie Miléna et moi. Entre les courses contre l'administration (que nous n'avons toujours pas gagné) et les courses au job, les mails sont restés dans ma poche.
Voilà à présent un mois que Miléna et moi avons commencé à travailler. Pour travailler en Espagne il faut des infos qu'il y a un mois nous n'avions pas. Avoir un numéro de NIE, et un numero de sécurité social espagnol.... La sécu c'est géré pour la NIE va falloir encore attendre car il y a environ 45 jours de gestion de paperasse (allez savoir ce qu'il font avec). Sans ce numéro avant la fin du mois nous nous verrons emputé de 25 % de nos salaires au nom de la loi (charge fiscal forfaitaire). Je travaille au Camp Nou, pour certain ce nom fait sonner la cloche de dans leur tête, pour d'autre ça sonnera creux, comme pour moi la première fois (le jour de l'entretien "Le Camp Nou, OK, c'est quel adresse ?). Je travaille donc pour la Boutique officiel du Barça Nike, l'équipe de foot de Barcelone. Ambience décontracte, sportswear de rigueur (Nike obligatoire), potes à la pelle... salaire... misérable. Nike paye ses employés 560 euros net pour un 30h contractuel (35h réelle). Ça laisse pensif. Miléna, elle, travaille sur une plateforme d'appels pour une mission de ventes de produits Lamy (éditeur de textes de loi, harceleur a temps plein) pour lequel j'ai fait une période d'essai en matinée en doublon du Barça, peu
probante puisque je n'y travaille plus depuis 2 jours.
Les tapas le soirs devant une bonne bière à bas prix (on a au moins ça) sont un ravissement. Vos visites chez nous ont commencé et c'est un plaisir pour nous de vous recevoir.
Je vous souhaite à tous de très bonnes choses pour ce début de printemps.
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